Comment il s’est retrouvé auteur…
Etienne
a toujours aimé jouer. Quand il était petit, il acceptait de jouer au magasin
avec sa sœur si elle acceptait de faire un jeu de société avec lui. C’est quand
il débarque à Bruxelles qu’il découvre le milieu du jeu bruxellois au travers des premières soirées
organisées par le magasin Sajou (2000/2001) « Je remercie Thierry pour ça, c’était vraiment très très chouette,
une très chouette période ». Il commence alors à acheter des jeux
modernes.
Assez vite (en même temps qu’Olivier Grégoire), il s’engage comme démonstrateur ludique chez Asmodee Belgique (Hodin à l’époque) et anime des tables de jeux jusqu’ à plus soif, et même en avoir marre.
Il participe de plus en plus à des soirées jeux, à l’Outpost, entre autre, et il joue, joue et joue encore.
Un jour il s’est dit qu’il aimerait faire un jeu sur Bruxelles qui est une ville qu’il aime beaucoup. Il a longtemps cherché un thème. Il adore l’architecture, il adore l’art nouveau et par hasard, en regardant une émission sur le sujet à la télé, il se dit « je vais le faire là-dessus ».
C’est là que ça commence concrètement.
Assez vite (en même temps qu’Olivier Grégoire), il s’engage comme démonstrateur ludique chez Asmodee Belgique (Hodin à l’époque) et anime des tables de jeux jusqu’ à plus soif, et même en avoir marre.
Il participe de plus en plus à des soirées jeux, à l’Outpost, entre autre, et il joue, joue et joue encore.
Un jour il s’est dit qu’il aimerait faire un jeu sur Bruxelles qui est une ville qu’il aime beaucoup. Il a longtemps cherché un thème. Il adore l’architecture, il adore l’art nouveau et par hasard, en regardant une émission sur le sujet à la télé, il se dit « je vais le faire là-dessus ».
C’est là que ça commence concrètement.
En 2010,
il avait le thème et le proto en tête.
La réflexion l’emmène de l’art nouveau à l’architecture, de l’architecture à l’architecte, de l’architecte à la table à dessin avec les 2 lattes. C’est de là que part le plateau avec les 25 actions et la fameuse équerre.
Puis, il l’a développé, l’a joué, fait tester. Avant ça, il avait déjà eu quelques protos en tête qui n’ont pas abouti. Bruxelles est le premier qui ait abouti et qui soit sorti.
La réflexion l’emmène de l’art nouveau à l’architecture, de l’architecture à l’architecte, de l’architecte à la table à dessin avec les 2 lattes. C’est de là que part le plateau avec les 25 actions et la fameuse équerre.
Puis, il l’a développé, l’a joué, fait tester. Avant ça, il avait déjà eu quelques protos en tête qui n’ont pas abouti. Bruxelles est le premier qui ait abouti et qui soit sorti.
Il a eu la chance de le proposer à un seul éditeur qui acceptait tout de suite. Il ne connaissait pourtant pas Sébastien Dujardin avant la signature, il ne connaissait que ses jeux.
En 2011, il fréquente beaucoup l’Outpost (d’ailleurs, Olivier Grégoire sera un des premiers à tester le proto). Et tout le monde lui disait d’aller voir chez Pearl Games. Pour lui, c’était Troyes / Tournay, il se disait que c’était du gros niveau mais ça lui faisait plaisir, et puis le thème pour un éditeur belge le faisait pas mal.
Il y est
allé une après-midi. Sébastien, en train de faire un test d’un jeu qui
s’appelle aujourd’hui Ginkgopolis avec un de ses amis, lui dit « explique moi vite ».
Il a une demi-heure pour y aller en vitesse, expliquer et sortir les grandes lignes. Ils ont voulu s’asseoir autour du proto. Finalement, il est arrivé à 13h et reparti à 19h30.
Sébastien lui a dit que le jeu lui plaisait et qu’il le voulait.
Alors qu’actuellement, c’est la croix et la bannière pour trouver un éditeur, lui a eu une chance de fou.
Il a une demi-heure pour y aller en vitesse, expliquer et sortir les grandes lignes. Ils ont voulu s’asseoir autour du proto. Finalement, il est arrivé à 13h et reparti à 19h30.
Sébastien lui a dit que le jeu lui plaisait et qu’il le voulait.
Alors qu’actuellement, c’est la croix et la bannière pour trouver un éditeur, lui a eu une chance de fou.
Pour un
premier jeu, on peut dire que c’est du lourd, je vous recommande l'article de Al sur celui-ci.
Le pire est qu’il a été allégé pour la version qui est sortie. Et une partie n’a même pas été présentée à l’éditeur, un véritable char d’assaut full option (qui a dit avec trop d’options). Tout un pan a donc été abandonné pour le rendre accessible. Le jeu n’est pas indigeste mais reste un Pearl Games, un jeu pour joueur.
« C’est le type de jeu que moi, j’aime jouer ».
Etienne est hyper content du résultat, Sébastien étant un mec hyper pro « je ne le remercierais jamais assez pour ce qu’il a fait ».
Le pire est qu’il a été allégé pour la version qui est sortie. Et une partie n’a même pas été présentée à l’éditeur, un véritable char d’assaut full option (qui a dit avec trop d’options). Tout un pan a donc été abandonné pour le rendre accessible. Le jeu n’est pas indigeste mais reste un Pearl Games, un jeu pour joueur.
« C’est le type de jeu que moi, j’aime jouer ».
Etienne est hyper content du résultat, Sébastien étant un mec hyper pro « je ne le remercierais jamais assez pour ce qu’il a fait ».
Des infos croustillantes…
# Il y a
des idées qui ont été conservées pour une extension… qui sait, peut-être un
jour.
# Une
réédition est prévue… et on peut dire qu’elle plus qu’attendue… On m’annonce
dans l’oreillette que c’est sort après Essen : OH YEAH !!!
# Il
existe une version jouable de jeu de cartes de Bruxelles. On sent qu’Etienne a
vraiment envie de travailler dessus de A à Z, pas simplement en tant qu’auteur
mais également en tant qu’éditeur (choix de l’illustrateur, du matériel, de la
distribution) même si c’est un travail d’une importance considérable.
Actuellement, ce n’est pas possible pour lui, mais espérons que ça le soit un
jour.
# On le
sent quand même bien chaud pour ressortir un jeu, mais c’est vraiment le manque
de temps qui échaude. Il n’est pas quelqu’un qui bosse sur 3 ou 4 protos en
même temps, il s’investit sur une seule chose à fond.
Comment il s’est retrouvé éditeur…
Ils ont ensuite décidé de l’autoéditer et ont créé une maison d’édition pour ça.
Au départ, il pensait un one shoot pour se marrer.
Puis Fred a voulu faire un second jeu, puis un troisième. Ce qui a réellement embarqué Etienne dans le monde de l’édition avec le trio de Geek Attitude Games (GAG).
A ce jour, il est donc bien plus éditeur qu’auteur.
« Ce que je regrette un petit peu car depuis que je bosse sur les jeux des autres, j’ai laissé mes protos dans les tiroirs. Mais bon, on verra… ».
A ce
jour, GAG a déjà sorti 2 jeux : Essen The Games & Taverna (que nous
avons adoré).
Sortira à Essen 2016 : Not Alone (l’article vous l’expliquant sera disponible semaine prochaine). C’est une jeu qui à toutes les qualités qu’il faut pour le marché actuel : petit format, petit prix (20€), de 2 à 7 joueurs, expliqué en 5 minutes, joué en une demi-heure… avec une tension dedans. Al vous le prédit sold out lors du salon de Essen, pas mal de médias spécialisés en parlent positivement. On l’a testé plein de fois et on vous le recommande déjà fortement.
En 2017, ils lanceront un Kickstarter pour leur prochain jeu Save The President, Save The World et ça s’annonce grandiose (aussi bien le jeu que le fait qu’il soit en Kickstarter, on ne manquera évidemment pas de couvrir tout ça).
Et ensuite, il y aura d’autres jeux, et c’est ça la bonne nouvelle, car Geek Attitude Games est devenu un éditeur belge reconnu, loin d’être encore une grande maison par sa taille mais qui l’est déjà par sa qualité éditoriale. Je suis sûr que l’avenir nous apportera encore de bons jeux chez eux.
Sortira à Essen 2016 : Not Alone (l’article vous l’expliquant sera disponible semaine prochaine). C’est une jeu qui à toutes les qualités qu’il faut pour le marché actuel : petit format, petit prix (20€), de 2 à 7 joueurs, expliqué en 5 minutes, joué en une demi-heure… avec une tension dedans. Al vous le prédit sold out lors du salon de Essen, pas mal de médias spécialisés en parlent positivement. On l’a testé plein de fois et on vous le recommande déjà fortement.
En 2017, ils lanceront un Kickstarter pour leur prochain jeu Save The President, Save The World et ça s’annonce grandiose (aussi bien le jeu que le fait qu’il soit en Kickstarter, on ne manquera évidemment pas de couvrir tout ça).
Et ensuite, il y aura d’autres jeux, et c’est ça la bonne nouvelle, car Geek Attitude Games est devenu un éditeur belge reconnu, loin d’être encore une grande maison par sa taille mais qui l’est déjà par sa qualité éditoriale. Je suis sûr que l’avenir nous apportera encore de bons jeux chez eux.
Etienne
prend son travail d’éditeur très au sérieux, il s’investit à fond dans les
règles des jeux que GAG sort. Il fait une immersion complète dans le jeu. Ça
fait partie de la vie d’un jeu.
« Si je fais un proto et que je le présente à un autre éditeur et qu’il me dit « je te le prend tel quel, dans trois mois il est sorti », ça me ferait un peu peur ».
Il faut prendre le jeu, le tester, le casser, le refaire, garder la mécanique de l’auteur mais y apporter de nouvelles idées, de la finesse et de l’équilibrage, c’est ça le travail d’un éditeur.
« Si je fais un proto et que je le présente à un autre éditeur et qu’il me dit « je te le prend tel quel, dans trois mois il est sorti », ça me ferait un peu peur ».
Il faut prendre le jeu, le tester, le casser, le refaire, garder la mécanique de l’auteur mais y apporter de nouvelles idées, de la finesse et de l’équilibrage, c’est ça le travail d’un éditeur.
Des infos croustillantes…
# Essen
The Game est donc actuellement sa seule collaboration en tant qu’auteur… mais à
la sortie de Bruxelles, il a été approché par plusieurs auteurs pour collaborer
(je n’ai malheureusement pas pu lui soutirer les noms).
# Essen
est une idée de Fred qui voulait absolument faire un jeu sur le salon qu’ils
fréquentent depuis 2006 (la Mecque du jeu en Europe),
la mécanique a été mise en place par Etienne et Fred, et Beatnik a rejoint
l’équipe sur le côté graphique et ramené des idées supplémentaires.
# Geek
Attitude Games est actuellement une activité complémentaire pour Etienne, il
est malheureusement toujours obligé d’aller bosser pour remplir le frigo. Il
travaille pour une maison de justice, mais il aimerait pouvoir bosser
pleinement dans le jeu.
#
Taverna est un peu tombé par hasard en édition chez GAG, car ils ne cherchaient
pas spécialement un jeu. C’est Karl Marcelle, un ami de Fred, qui a proposé un
proto lors d’une soirée et qui était fort bien (même si il y avait beaucoup
trop de chose… 23 tavernes). Comme ils avaient montés une société d’édition,
ils se sont dit « pourquoi pas
sortir aussi celui-là ? ». Karl n’ayant pas assez de temps de
faire des développements, il a laissé le jeu à l’équipe qui a énormément
travaillé sur les modifications et la finalisation des mécaniques et des
règles. Toujours en revenant vers lui.
# Au
niveau des décisions chez GAG, vu qu’ils sont trois, c’est à la majorité. Donc
si 2 sur 3 sont d’accord, la décision est prise. Il est impossible de tomber
d’accord à 3 à chaque fois.
# Pour
Not Alone, comme ça avait été le cas pour Taverna, GAG fait le choix de prendre
un illustrateur pas connu et dont c’est la première expérience en jeu de
société. « En tant qu’éditeur, on a
également une image à donner… Il faut
que les auteurs comprennent ça aussi. Si nous, on engage du temps, de l’argent,
de l’énergie et encore plein d’autres choses pour sortir un produit, c’est
qu’on y croit, mais on y croit pas envers et contre tout. On a aussi une grande
part de décisions à prendre, et au final, le dernier mot. ». Pourtant
le choix d’un illustrateur est quelque chose de subjectif…
Pourquoi un Kickstarter…
Save The
President sera sur Kickstarter en 2017.
Le pitch : « 4 juillet / USA. En cette fatidique journée de Fête Nationale de l’indépendance, l’impossible s’est produit. A la faveur d’un tremblement de terre d’une magnitude de 9.02 sur l’échelle de Richter, une faille inter-dimensionnelle s’est ouverte devant la Maison Blanche.
En sont sorti des hordes de créatures toutes plus menaçantes les unes que les autres, animées par de noirs desseins de conquête du monde libre. Totalement pris de court, tout le personnel de la Maison Blanche fut massacré dans d’atroces souffrances. Les services d’ordre totalement impuissants furent réduits en miette, la garde rapprochée du Président n’étant plus qu’un lointain souvenir la marche des créatures du chaos vers le bureau ovale était inéluctable…
Notre plus grand symbole est sur le point de tomber – et avec lui le monde libre !
Mais… au milieu des décombres, les silhouettes de quelques individus – braves touristes venus accomplir leur devoir de patriotes – se dressent comme un ultime et dernier rempart face à l’anéantissement de notre société… Avec un seul mot d’ordre : SAVE THE PRESIDENT, SAVE THE WORLD »
De 1 à 5 joueurs / 60 à 90 minutes / A partir de 10 ans.
Un jeu de Cyril Besnard et Alain Fondrille.
Le pitch : « 4 juillet / USA. En cette fatidique journée de Fête Nationale de l’indépendance, l’impossible s’est produit. A la faveur d’un tremblement de terre d’une magnitude de 9.02 sur l’échelle de Richter, une faille inter-dimensionnelle s’est ouverte devant la Maison Blanche.
En sont sorti des hordes de créatures toutes plus menaçantes les unes que les autres, animées par de noirs desseins de conquête du monde libre. Totalement pris de court, tout le personnel de la Maison Blanche fut massacré dans d’atroces souffrances. Les services d’ordre totalement impuissants furent réduits en miette, la garde rapprochée du Président n’étant plus qu’un lointain souvenir la marche des créatures du chaos vers le bureau ovale était inéluctable…
Notre plus grand symbole est sur le point de tomber – et avec lui le monde libre !
Mais… au milieu des décombres, les silhouettes de quelques individus – braves touristes venus accomplir leur devoir de patriotes – se dressent comme un ultime et dernier rempart face à l’anéantissement de notre société… Avec un seul mot d’ordre : SAVE THE PRESIDENT, SAVE THE WORLD »
De 1 à 5 joueurs / 60 à 90 minutes / A partir de 10 ans.
Un jeu de Cyril Besnard et Alain Fondrille.
Etienne
a une position très positive par rapport à ce choix de production, pour lui,
c’est tout simplement une autre manière de faire.
Et il est clair que STP est un jeu à Kickstarter, plein de strech goals sont envisageables.
De plus, GAG n’a pas les moyens de l’éditer avec du beau matos, la qualité qu’un tel jeu requière.
C’est aussi pour lui une manière de faire parler du jeu avant la sortie, c’est un outil de communication (pour le meilleur ou pour le pire).
Pour Etienne, c’est aussi un moyen pour que des jeux qui n’auraient jamais pu voir le jour autrement puissent sortir, être édités et soient jouables. Mais attention, ce n’est pas pour autant que tout est bon.
Et il est clair que STP est un jeu à Kickstarter, plein de strech goals sont envisageables.
De plus, GAG n’a pas les moyens de l’éditer avec du beau matos, la qualité qu’un tel jeu requière.
C’est aussi pour lui une manière de faire parler du jeu avant la sortie, c’est un outil de communication (pour le meilleur ou pour le pire).
Pour Etienne, c’est aussi un moyen pour que des jeux qui n’auraient jamais pu voir le jour autrement puissent sortir, être édités et soient jouables. Mais attention, ce n’est pas pour autant que tout est bon.
Par
rapport à STP précisément, GAG prend la chose au sérieux.
Les auteurs parisiens du jeu vont travailler dans le sens de concevoir de nombreux strech goals, de nouvelles cartes avec des effets de monstre, des missions, … bref, ça va le faire.
GAG a engagé Jamie de Tric Trac comme community manager pour la campagne Kickstarter, Il est fort emballé par cette campagne qui s’annonce dantesque.
Par contre, GAG ne fait pas le choix de faire une boîte avec des figurines au kilo, il y en aura, c’est sûr, mais pas des tonnes, et tout simplement pour que les gens n’attendent pas 2 ans pour recevoir le jeu qu’ils auront pledgé. Le but étant que dans l’année qui suit la fin du KS, le jeu puisse sortir. Donc, objectif sortie pour fin 2017.
Les auteurs parisiens du jeu vont travailler dans le sens de concevoir de nombreux strech goals, de nouvelles cartes avec des effets de monstre, des missions, … bref, ça va le faire.
GAG a engagé Jamie de Tric Trac comme community manager pour la campagne Kickstarter, Il est fort emballé par cette campagne qui s’annonce dantesque.
Par contre, GAG ne fait pas le choix de faire une boîte avec des figurines au kilo, il y en aura, c’est sûr, mais pas des tonnes, et tout simplement pour que les gens n’attendent pas 2 ans pour recevoir le jeu qu’ils auront pledgé. Le but étant que dans l’année qui suit la fin du KS, le jeu puisse sortir. Donc, objectif sortie pour fin 2017.
Des infos croustillantes…
# Pour
ceux qui ont déjà testé le proto et qui savent de quoi je parle, il y aura une
représentation 3D du Kaïju, on n’en saura pas plus pour l’instant…
# On nous annonce que c’est Maeva Kosmic et Christine
Deschamps qui vont illustrer le jeu.
Et alors…
Quoi
qu’il en soit, à l’heure actuelle, sachez qu’on couvrira l’actualité future
d’Etienne aussi bien en tant qu’éditeur qu’en tant qu’auteur.
Un article sur Not Alone sortira semaine prochaine, mais également le suivi de la campagne Kickstarter en 2017.
Personnellement, j’aimerais vraiment qu’un nouveau jeu avec Etienne en tant qu’auteur sorte.
J’ai proposé une collaboration avec Olivier Grégoire, vous en pensez quoi ? Ça pourrait le faire je dis…
Un article sur Not Alone sortira semaine prochaine, mais également le suivi de la campagne Kickstarter en 2017.
Personnellement, j’aimerais vraiment qu’un nouveau jeu avec Etienne en tant qu’auteur sorte.
J’ai proposé une collaboration avec Olivier Grégoire, vous en pensez quoi ? Ça pourrait le faire je dis…
J’ai
pris beaucoup de plaisir à recevoir Etienne chez nous pour boire un coup et
faire cette interview (qui ressemblait bien plus à une papote entre potes).
C’est vraiment une personne appréciable et appréciée. Par contre, prenez garde,
l’équipe GAG est championne au bar, les lendemains de soirées avec eux sont
souvent difficiles.
J’espère
vous avoir donné envie de vous intéresser aux activités d’Etienne une fois.
Ludiquement
vôtre.
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